Max et Lili se sont glissés parmi les nouveautés arrivées cette semaine 🤩
De quoi occuper les petits pendant les vacances avec notamment la valise Max et Lili et le Grand jeu.
Dans les deux cas, Max et Lili incitent les enfants à utiliser leur imagination tout en s’amusant… 🙂
De belles nouveautés en prix réduit viennent d’arriver à la Bouquinerie.😍
Il y en a pour tous les goûts : de la jeunesse, des romans, du cinéma…
Qu’est-ce qu’un livre à prix réduit ?
Il s’agit d’un livre qui a quitté le circuit du livre neuf pour diverses raisons (arrêt de commercialisation, changement de couverture…).
Son prix peut donc être réduit. 🙂
C’est la fête de la musique !! 🎻🎷
Une bonne occasion de vous présenter ces deux livres, l’un sur Manu chao et l’autre sur la Mano Negra ! ❤️
Dans « Manu Chao« , Alessandro Robecchi revient sur le parcours du chanteur, de ses débuts avec la Mano jusqu’à son premier album solo.
« Un train de glace et de feu » revient sur un moment particulier de la Mano Negra : celui où le groupe intègre un train composé « d’une centaine de saltimbanques français et colombiens qui se propose de réhabiliter les trains de passagers, pratiquement inexistants dans ce pays ».
Malheureusement, ce périple met également à jour les dissensions au sein du groupe et annonce la fin de sa formation. 😢
Un périple passionnant raconté de l’intérieur par Ramon Chao, le père de Manu Chao. Attention, ce livre n’est plus édité et devient rare à la vente.
Ami(e) du politiquement correct, passez votre chemin !
Votre sensibilité, Jack Douglas s’en moque totalement !
Il faut dire que ce pionnier du stand-up appartient à une époque où on ne se posait pas la question de savoir si on pouvait rire de tout… on pouvait !
Avec un humour caustique et complètement barré, Jack Douglas nous entraîne dans ses histoires plus délirantes les unes que les autres ! Pas sûr que vous en ressortiez indemne mais on vous aura prévenu !
Extrait :
« Chapitre 11
Au diable le chapitre 11 ! N’importe quel satané bouquin que vous trouvez dans le commerce a un chapitre 11 ! »
Une exposition est consacrée à l’album « Verts » de Marion Besançon et Patrick Lacan. La scénographie, très inspirée, nous plonge littéralement au cœur de l’album.
Des croquis préparatoires aux planches en couleur, on suit la progression de cette fable écologique de salle en salle.
Pour ma part, la meilleure expo du salon !
Les étudiants de l’école d’Art d’Amiens sont également présents. Sur certains travaux, il est noté de ne pas prendre de photos… donc… pas de photos ! C’est bien dommage parce qu’il y a vraiment de très bonnes planches et/ou illustrations.
J’ai quand-même pu prendre le panneau avec les Starter pack où la nouvelle génération rappelle les enjeux de l’utilisation excessive de l’Intelligence Artificielle au détriment des vrais artistes.
A découvrir également le grand prix du Courrier Picard Hors Catégorie. Mais chuuut, pas de spoil… c’est à découvrir sur place 🙂
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De retour du festival de la BD d’Amiens, voici quelques photos et impressions 🙂
PARTIE 1 : NAOKI URASAWA
Belle expo sur Naoki Urasawa répartie sur deux lieux : la halle Freyssinet et la maison de la Culture.
Celles et ceux qui ne connaissent pas l’auteur japonais peuvent découvrir son œuvre grâce aux nombreuses planches exposées.
Mention spéciale à la scénographie de Monster qui rend un bel hommage à la série.
Dommage en revanche qu’il n’y ait pas davantage de croquis, planches originales, travaux originaux hors-série… Cela aurait permis aux amateurs d’aller plus loin dans l’univers du mangaka.
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D’après un article de Louella Boulland pour Actualitté, One Piece n’est plus le manga le plus vendu au Japon.
Vendu à plus de 500 millions d’exemplaires dans le monde, adapté en série et en films, dérivés en de nombreux produits, One Piece est un phénomène de l’édition mondiale.
Toujours selon l’Actualitté, ce seraient justement ces déclinaisons qui ont eu raison du format papier. Mais également l’émergence de nouveaux mangas qui ont su capter l’attention du public comme les Carnets de l’apothicaire ou encore Dandadan auquel certains prédisent un bel avenir.
Le vendredi 13 porte t-il chance ? Tout dépend de quel côté de la machette vous vous trouvez !
Pour les protagonistes du film Vendredi 13, la réponse est clairement NON. Sorti en 1980, après l’immense succès d’Halloween, Vendredi 13 est l’archétype du Slash movie : un film d’horreur où un personnage meurt toutes les 10 minutes.
Depuis le premier film, on ne compte plus les suites, remakes, parodies, jeux, série tv…
Mais pourquoi tant de haine ?
Le pitch : En 1957, un jeune garçon nommé Jason Voorhees meurt noyé au camp de Crystal Lake. L’année suivante, deux moniteurs sont également tués. Suite à ces événements, le camp reste abandonné.
En 1980, Steve Christy décide de le rouvrir un vendredi 13, jour anniversaire des décès survenus vingt-trois ans plus tôt. Lors de la préparation du camp pour l’été, les moniteurs employés par Christy commencent à disparaître les uns après les autres pendant la nuit.
Alors que le petit Jason Voorhees est en colonie de vacances, il meurt noyé à cause de la négligence de ses moniteurs. Du moins le croit-on. Plusieurs années après cet évènement, il assiste à la décapitation de sa mère qui n’a eu de cesse de le venger depuis. Il se venge à son tour en semant la mort et la terreur au Crystal Lake Camp.
De très beaux livres de photographies viennent d’arriver à la bouquinerie, parmi lesquels « Visages d’Afrique » de Carol Beckwith et Angela Fisher.
Ces deux photographes, l’une américaine, l’autre australienne se sont intéressées aux tribus africaines et à leurs rites ancestraux.
Le livre de National Geographic synthétise ainsi 30 ans de portraits au plus près des traditions africaines.
